A Lille, une mobilisation pour la « sauvegarde » de la psychiatrie publique

Une petite vingtaine d’agent·es du secteur psychiatrique s’est rassemblé ce matin devant le siège de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Lille à l’appel de la CGT EPSM des Flandres (Etablissement Public de Santé Mentale) et de SUD Santé Sociaux. Les agent·es mobilisé·es (pour beaucoup aide-soignant·es) protestent contre les transferts de lits vers des sites non adaptés à la prise en charge psychiatrique et espérent “faire entendre [leurs] revendications et changer l’ARS”.

« C’est du foutage de gueule ». A Douai, la gauche pense déjà l’après Barnier.

On les a vu, ces militant·es mobilisé·es à l’appel du collectif de défense et de développement des services publics du Douaisis. Une petite trentaine de personnes réunies quelques heures seulement après que le – pour l’heure – premier ministre Michel Barnier ait déclenché l’article 49 alinéa 3 de la Constitution devant l’assemblée nationale, engageant ainsi la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de finances de la sécurité sociale. Comme une énième provocation à laquelle tout le monde s’attendait.

« PAS UNE DE PLUS ». Mobilisation à Lille contre les violences sexistes et sexuelles.

Samedi 16 novembre à Lille, deux associations se mobilisaient à deux endroits distincts de la ville pour une même cause : la lutte contre les violences sexistes et sexuelles commises à l’encontre des femmes et des enfants.

Sur les marches du théâtre Sébastopol, le collectif Enfantiste organisait un temps d’interpellation, où plusieurs personnes sont venues témoigner de leur propre vécu, ou en lisant des témoignages anonymes, pour briser le silence sur l’inceste. 160 000 enfants subissent des violences sexuelles chaque année en France. 1 enfant y est victime d’inceste, de viol ou d’agression sexuelle toutes les 3 minutes, selon la CIIVISE.

Rassemblement pour le cessez-le-feu ce Dimanche à Lille

Une centaine de personnes s’est rassemblée ce Dimanche, devant l’opéra de Lille, pour exiger un cessez-le-feu au Liban et en Palestine, mais aussi plus généralement pour dénoncer le projet expansionniste colonial de l’État israélien et de ses soutiens occidentaux. Si l’appel à la paix était dans toutes les bouches, une profonde colère se faisait ressentir à l’égard de celles et ceux qui “laissent faire“.